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Envie de savoirs... / Vivre ensemble... ou Pas !

 

Société interculturelle - coopération/compétition - Norme - exclusion - stigmatisation - (Des-)humanisme

 

Expérience  

Un homme,

une situation,

deux habits,

on aide "le riche"

et on laisse mourir "le pauvre"...

Gregory Kloehn est un artiste d’Oakland qui cherche à aider les sans-abris et à développer son métier en même temps.

Au lieu de faire des sculptures qu’il vendrait à des gens riches qu’ils mettraient dans leur gigantesque maison, il a décidé de concentrer ses efforts pour aider les sans-abris en Californie.

Il cherche dans les tas d'ordures déposés illégalement et se sert de ce qu'il trouve pour construire de petites maisons (qui font la taille d'un canapé) pour les sans abris. Elles sont équipées de roues pour pouvoir être déplacée. 

Il a publié un livre " Architecture des sans abris".

Il semble qu'il ait pour objectif de les aider à construire des "maisons".  

 

Source : http://www.espritsciencemetaphysiques.com/transformer-des-dechets-en-trucs.html

"Des petites maisons" pour les SDF

"Oeil pour oeil don pour don"
 
 

Big Daws est un jeune homme qui anime une chaîne Youtube, Big Daws Tv. Il y poste des vidéos rigolotes mais aussi des vidéos qui ont pour objectif de rendre le monde meilleur. Après avoir fait des vidéos où il aidait des sans-abris, il a décidé de sortir du cadre et de donner à ceux qui donnent !

Pics métalliques, plots en béton, jardins de cactus, éclairage perturbant… Sous couvert de design, le mobilier urbain s’arme de tout un arsenal anti-SDF. Ou comment les centres-villes ont déclaré la guerre aux sans-logis. Un phénomène qui n’a pas échappé à l’œil d’Arnaud Elfort. 

 

Avec son appareil photo, cet artiste plasticien arpente depuis plusieurs années le macadam parisien en constituant un véritable inventaire(link is external) de ce mobilier urbain d’un genre nouveau. Mais à qui doit-on ces joyeuses envolées urbanistico-sécuritaires ?

 

"Le repos du fakir"

 Avant tout aux copropriétés et aux commerçants qui paient pour ce mobilier. La Ville de Paris, elle, se dit impuissante face à ses initiatives privées. Quand à la RATP, elle a été la première à introduire dans l’espace public parisien des équipements anti-sdf. Ailleurs en Ile-de-France, on ne manque pas d’idées pour faire déguerpir la misère. En 2007, le projet de la ville d’Argenteuil avait notamment marqué les esprits : C’est à coup de produit répulsif que le maire Georges Mothron entend alors disperser les sans-abris installés devant le centre commercial de la ville.  Face au tollé, il y renoncera finalement. 

Albert Jacquard est Généticien, Mathé-maticien, Biologiste et Ecrivain. Conférence donnée à l'occasion des Rencontres inter-culturelles pour la Paix deuxième édition "Ethique, Education et Transmission", organisées par le Centre Ethique International

 

Eléments de contenu :

  • de l'invention de la reproduction (des cellules) ) à la procréation

  • "des poissons ont fait n'importe quoi et sont sortis sur la plage, les serpents ont fait n'importe quoi  ils ont eu des ailes ils se sont mis à voler, un primate et tombé des branches..!"

  • Le primate a subi des mutations qui lui ont donné un cerveau beaucoup trop gros à l'état fœtal

  • primate=6 7 milliards neurones, être humain=100 milliards 

  • Si ces 100 milliards de neurones étaient poussés jusqu'à "maturité" le cerveau ne pourrait pas passer par le bassin des femmes et ce serait la fin de l'espèce. 

 

 

  • Les futures mères ont donc inventé de faire naitre les bébés avant qu'ils soient présentables! ils ne savent rien faire. 

  • Le bébé commence à créer des connexions entre neurones une fois qu'il est né et augmente le volume de son cerveau. 10 000 connexions par neurones d'ici sa puberté. 2 millions et demi de connexions de neurones par seconde. Fabuleusement riche de connexion possible. Il participe non plus seulement à la connexion entre neurone d'un individu mais à la connexion d'individus entre eux = la singularité. 

  • Cerveau extraordinairement riche = capacité à être intelligent. = "Très bien mais pas ce qu'il y a de plus beau! "

  • "Un ensemble plus un autre ça ne donne rien mais un ensemble avec un autre ça crée quelquefois du neuf"

  • "Je suis intelligent, j'ai des compétences, des qualités, tu en as aussi mais toi et moi et non pas toi+moi nous en avons infiniment plus. "

  • "la grande singularité humaine, c'est la capacité de se rencontrer pour être capable de faire plus que soi même. Ce que je suis c'est ce que j'ai mis en place en moi grâce à la rencontre de l'autre"

  • "C'est ce qu'il faut enseigner à l'école, l'art de la rencontre. Il faut apprendre autre chose... à lire par exemple. Pourquoi apprendre à lire? pour avoir une bonne note? ça vaut pas le coup arrêtez vous! Mais pour rencontrer balzac, rabbelais...tous ceux qui ont pris la peine d'écrire..."

 

Singularité de l'être humain par ALbert Jacquard

Un artiste se fait bombarder d’œufs pour interroger notre rapport à la violence

 

Mercredi 14 mai 2014 place Saint-Martial dans le centre-ville d'Angoulême, l'artiste Jérémie Pujau a improvisé un jeu de massacre avec des oeufs. Il a posé une table, une nappe et 120 oeufs. Il s'est placé à quelques mètres de la table et a attendu debout sans parler sans bouger. Sur la table il n'y avait aucune instruction, juste des oeufs.

"La performance met en jeu la responsabilité personnelle – du processus de prise de décision à la  responsabilité qui en découle – et d'en accepter les conséquences si tant est qu'on les comprenne. Elle propose au passant de dire "non, je ne suis pas d'accord". Mais elle provoque aussi une réflexion sur notre faiblesse à l'intérieur d'un groupe, sous le regard d'autrui, et la facilité à perdre son indépendance, son libre arbitre, sa capacité à décider par soi-même, pour soi-même dans une 

conscience collective." 

Source : http://pouleouoeuf.com/fr

 

Art et Sociologie Performance " de la poule ou de l'oeuf"

Tous les jours, nous voyons des femmes et des hommes retouché-e-s dans les magazines, dans les publicités.... On peut nommer ça le "formatage des corps", création de modèles, normes de beauté...

L'association "Pro Infirmis" a publié une vidéo pour la journée des personnes handicapées. On y voit le projet de mettre en place des vitrines avec des mannequins de personnes handicapées...

"Des mannequins de personnes handicapées dans les vitrines"

« Une seule famille humaine, de la nourriture pour tous » ou la base de la coopération. 

Cette vidéo est issue de la campagne mondiale de 18 mois "one human family food for all"="une seule famille humaine de la nourriture pour tous et toutes", par Caritas, en 2013.

Mais on y voit aussi les bases de la coopération de manière générale ! 

Émission « Le Dessous des Cartes », Arte – Novembre 2014

Eléments de contenu : 

  • origines de la croyance concernant l'existence de races (couleurs de la peau, continent...)

  • Hierarchisation de ces races

  • Le racisme est dans nos 

    mémoires : il a été enseigné, "mesuré" par la "science"

     

"Comprendre les origines du racisme" 

+ colonisation, esclavage, apartheid...

" L'inverse de l'addiction n'est donc pas l'abstinence mais le lien social ? " 

Extrait d'un article disponible ici

 

"Nous avons créé des sociétés humaines dans lesquelles il n'a jamais été aussi facile de vivre coupé des autres".

(...)

"Cela fait maintenant un siècle que nous entonnons des hymnes guerriers contre les toxicomanes. Tandis que je lui épongeais le front, je me suis dit que nous aurions mieux fait, pendant tout ce temps, de leur chanter des chansons d'amour.

(...)

Tout cela va bien au-delà de la simple compréhension de la toxicomanie. Pour le Pr. Peter Cohen, nous éprouvons tous un besoin viscéral de créer du lienC'est ce qui nous comble. Quand c'est impossible, nous prenons ce que nous avons sous la main - le ronronnement d'une roulette de ca-

 

 

sino ou la piqûre d'une seringue. Selon lui, il faut arrêter de parler de dépendance et préferer le terme de connexion. Faute de pouvoir nouer des liens profonds, on se connecte à l'héroïne.

(...)

Il existe une alternative. On peut mettre en place un système dont le but est de permettre aux toxicomanes de renouer avec le monde, et de se débarrasser de leur addiction.

(...)

« Relier suffit. »

(...)

L'augmentation des comportements addictifs est le symptôme d'un mal-être profondément enraciné, qui nous pousse à privilégier le nouveau gadget dont nous avons envie plutôt que les personnes qui nous entourent. 

Pour le professeur Alexander, cette découverte remettait profondément en cause deux conceptions opposées de  

la toxicomanie : les conservateurs l'envisagent comme une tare morale, conséquence de l'hédo-nisme. À l'inverse, les gens de gauche ont généralement tendan-ce à la présenter comme une maladie qui se développe quand le cerveau est pris en otage par les substances chimiques. En réalité, la dépendance n'était selon lui qu'une forme d'adaptation à notre environ-nement. Ses causes ne trouvent pas leur origine en nous mais dans la cage où nous nous trouvons.

(...)

C'est un docteur canadien, Gabor Mate, qui me l'a fait remarquer : la même drogue transforme les drogués de la rue en junkies désespérés alors qu'elle n'affecte pas des patients qui en ont consommé dans un cadre médical.

 

 

 

 

« Le voleur de hache »

« Un paysan ne retrouvait pas sa hache. Il soupçonna alors le fils de son voisin de la lui avoir prise et se mit à l’observer. Son allure était typiquement celle d’un voleur de hache. Son visage était celui d’un voleur de hache. Les paroles qu’il prononçait ne pouvaient être que des paroles de voleur de hache. Toutes ses attitudes et tous ses comportements trahissaient l’homme qui a volé une hache.

Mais par hasard, en déplaçant un tas de bois, le paysan retrouva sa hache.

Lorsque le lendemain il regarda de nouveau le fils de son voisin, celui-ci ne présentait rien, ni dans l’allure, ni dans l’attitude, ni dans le comportement, qui évoquait un voleur de hache. »

 

Parabole chinoise attribuée à Lie Yukou – IV è siècle avant notre ère.

Michel Piquemal et Philippe Lagautrère (2003)

« Le racisme » par Pascal Blanchard 

Pascal Blanchard, histo-rien, spécialiste de l'Empi-re colonial français, des enjeux de diversité et des histoires de l'immigra-tion. explique l'histoire du racisme et des représen-tations négatives sur les noirs.

Les personnes en surpoids sont souvent victimes de railleries dans leur dos, parfois en pleine rue, aux yeux de tous. Pour rendre compte de ce phénomène, la photographe Haley Morris-Cafiero, elle-même en sur-poids, s’est mise en scène à travers une série de photos dans laquelle les moqueurs sont immortalisés en pleine raillerie.

 

Haley Morris-Cafiero est une photographe basée à Memphis, aux États-Unis, qui a choisi d’orienter son travail autour de son poids. Elle explique sur son site : “J’ai toujours tenté de contrôler mon poids, mais c’est très difficile. Mon incontrôlable apparence a ainsi déterminé ma place dans la société, et je me suis souvent sentie à part, étrange.” Pour illustrer ce sentiment de différence vis-à-vis de sa société, Haley décide de se lancer dans “Something to weigh”, une série de photos dans laquelle elle se met en scène dans des espaces de la ville pour voir comment son corps s’intégre dans la société.

 

Haley Morris-Cafiero s’immortalise ainsi dans des restaurants, des piscines et autres centres commerciaux.

 

Liens ; site officiel    Source

 

“Skate Rink” du projet Something to Weigh© Haley Morris-Cafiero

 

Mais en développant un cliché dans lequel elle se trouve assise seule sur une une marche de Time Square, Morris-Cafiero se rend compte de quelque chose.

J’ai remarqué qu’un homme, qui se tenait debout derrière moi, était en train de se faire photographier par une femme blonde très séduisante. Mais, au lieu de poser pour l’appareil, il ricanait derrière mon dos. Cinq minutes plus tard, à un autre endroit, un homme se retournait vers moi et me regardait bêtement, pendant que je prenais une photo de moi assise à une table de café.

 

Ainsi est né le projet “Wait Watchers” (notez le très bon jeu de mot avec le célèbre régime Weight Watchers), qui donne à voir les moqueries dont sont trop souvent victimes les individus en surpoids au sein de notre société. Sur son site, Haley Morris-Cafiero explique qu’elle a toujours été au courant de ces moqueries, mais qu’elle renverse la vapeur en capturant les réactions de ces gens face à elles. 

Photographie - Haley Morris-Cafiero
Son projet "wait watchers" 
Etats-Unis

“Anonymity Isn’t for Everyone” du projet Wait Watchers © Haley Morris-Cafiero

Découvrez ces photos sur ce diaporama.

"Théâtre de l'invisible" sur le racisme

Une actrice noire jouant le rôle d'une coiffeuse raciste s'en prend violemment à un couple interracial. Ecoutant les propos échangés, les autres clients de l'établissement réagissent avec force pour défendre le couple en question...

Emission américaine « What Would You Do »

Solidarité en chaine ! 

Un garçon se balade tranquil-lement lorsqu’il tombe de son skateboard. Un homme l’aide gentiment à se relever. Ce qui suit ?

Une chaîne de solidarité...

Extrait du documentaire "Utopia" de John Pilger (décembre 2013) sur la situation des Aborigènes d'Australie (Le réalisateur du film, John Pilger, affirme que la situation des communautés aborigènes est pire qu'il y a trente ans....)

Dans cet extrait :

  • une solution au problème des aborigènes par Lang Hancock, magnat ( = membre des familles nobles dominantes dans certains pays ) de l'extraction minière en Australie (mort en 1992) = "stériliser l'eau pour qu'ils s'éteignent dans le futur". Mais pas tou-te-s hein, ceux/celles qui se sont assimilé-e-s dans le salariat il "les laissera tranquille". Ha..ouf..

  • Police et aborigènes... (2012)

  • réduction des aborigènes au statut de "sous-humain"...

Une solution au problème des aborigènes ? Bien sûr!

Visitez le site officiel

de John Pilger : 

http://johnpilger.com/

constats,

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conscience,

Analyses

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A Bioule, dans le Tarn-et-Garonne (1090 habitant-e-s) la cantine scolaire est ouverte à une douzaine de personnes de plus de 75 ans...

 

Découvrez les témoignages sur le site de "On passe à l'acte" ici 

Une cantine inter-générationnelle !

Juliette est malade. Elle a trop d'empathie... A voir ! 

"Crise d'Empathie" - Les parasites

18/12/15 - court métrage

Mouvement d'Informations, de Cultures et d'Educations alTERRE-natif

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